Bilan Carbone 2024 d'Amoès
L'impact carbone émane du bilan des émissions de carbone effectué au sein de l'entreprise Amoès. Réalisé à partir de notes de frais et d'observations, cet Impact Carbone s'inspire de la version 6.1 du Bilan Carbone préconisée par l'ADEME en juin 2010. Ce bilan réalisé chaque année permet de définir des objectifs environnementaux à respecter et à compenser nos propres émissions de CO2 auprès de Microsol entre 2013 et 2023 et de la SCIC Climat Local depuis 2024.
Pendant l’année 2024, l’activité professionnelle d’Amoès a généré un volume de gaz à effet de serre estimé autour de 9.51 tonnes équivalent carbone, pour un effectif de 40 personnes lissé sur l'année, soit un impact par personne de 0.24 t eq C, soit le niveau le plus élevé depuis 2019.
Notre partenariat via l’association MICROSOL a pris fin en 2023 et un nouveau partenaire a été retenu pour compenser notre impact carbone sur des projets français avec la SCIC Climat Local avec notamment l’aide à la plantation de 240 mètres linéaires de haie champêtre au Domaine du Boyer à Pomport (24), qui permettra un stockage Carbone de 24tCO2e sur 25 ans.
Vous pouvez retrouver nos anciens bilans depuis notre création : 2023, 2022, 2021, 2020, 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, 2010, 2009, 2008 et 2007.
Nouvelles technologies de l'information et de la Communication (NTIC) : le plus gros poste d'émissions
Vous vous en souvenez, c'est à partir de 2021 que nous avons pris en compte l'impact du contributeur NTIC dans notre bilan carbone. Il représentait alors 79% de l'impact carbone de l'entreprise sur l'année. En 2023, ce poste représente 72% de nos émissions, soit une légère augmentation de 1% par rapport à l'année 2023 où ce poste représentait 71% des émissions.
Les consommations d’énergie des locaux sont responsables de 4% des émissions de carbone de l’entreprise. La valeur de 0.37 t. eq. C est supérieure de 32% à la valeur pour ce poste des années 2021, 2022 et 2023.
Les déplacements professionnels représentent 2% des émissions avec 0.16 t. eq C. En 2024, les salarié·e·s d'Amoès ont parcouru 74 633 km en TER ou TGV contre 125 000 km en 2023. Seulement 439 km ont été effectués en voiture contre 1973 km en 2023 et 1144 km en 2020, soit une baisse remarquée qu'il faut poursuivre !.
Les déplacements domicile-travail représentent eux également 2% des émissions avec 0.21 t. eq C, soit 50% de plus qu'en 2023. La voiiture représente 5% de la distance parcourue mais 51% des émissions liées au poste, soit environ 1% du bilan total d'Amoès. Par rapport à l'année 2023, on observe une réduction de 27% mais une augmentation de la carbonation du kilomètre (0.03 kgéq CO2 contre 0.01 en 2023). Les transports en commun parisien représentent le premier mode de transport en termes de distance parcourue avec plus de 40 000 km parcourus cette année, suivi par le vélo (électrique inclus) avec environ 25 000 km.
Les achats de matériel et de fournitures réalisés en 2024 représentent en tout 18% des émissions du bilan carbone avec 1.76 t. eq C, soit une augmentation de 55% par rapport à l'année 2023 qui s'explique par le déménagement de l'agence asniéroise qui a engendré le remplacement de matériel informatique et de mobilier de bureau, ce qui se ressent dans le bilan : les achats de matériel informatique avec 0.67 t. eq C et le matériel de bureau non informatique avec 0.63 t.eq C sont responsables de la plus grande partie des émissions de ce poste.
Globalement, sans regarder l’impact bénéfique de l’activité d’Amoès et l’impact des placements financiers, le bilan des employés d’Amoès est en hausse, cela est dû principalement à au changement d'hypothèse des facteurs d'émission des NTIC et au stockage et à la modification de fichiers qui représentent 47% de l'empreinte carbone totale. On notera par ailleurs que nous avons commencé cette année à suivre l'impact carbone lié à l'utilisation de l'intelligence artificielle chez Amoès.
Pour limiter l’impact toujours plus fort du numérique, nous mettons en place des procédures pour limiter la taille de nos boites mail, éviter les mails avec pièces jointes ou bien réduire la résolution de nos vidéos (voire privilégier les conférences audio plutôt que visio).